Exécration des fâcheux !

Publié le par Désherbant

 
Aux unes,  mais également à l'autre :rat.jpg

Puisque par-ci et parla je peux lire et entendre, des biens fâcheux  propos à savoir : « bêtise, ... macho » et alii...

Qu'un crétin notoire, croupissant quelque part dans le nord de Paris,  envisagerait même de sombrer dans clandestinité du maquis afin d'y contrer « l'antifascime » ambiant (rien de moins !)

Il va de soi que je reste à disposition - de  celui (ou celle ?) qui le voudrait bien - pour toute explication qui s'avérera la plus idoine et la mieux adaptée selon l'interlocuteur du moment : « cum ora et cum actis ... » comme disaient jadis mes ancêtres ... les romains ! 
Ou à coup de claques, si nécessaire.

Je me demande cependant la raison qui pousse avec autant de témérité et/ou bravoure tant de pitoyables individus qui, ne connaissant rien à ma personne, ne se privent  pourtant guère de privilégier l'invective indirecte, plutôt que, bien plus poliment,  de  présenter ici, sur ce même « outil » de dialogue,  toute doléance ressentie, pour ne pas dire injure, offense ou insulte du moment. 

Quoi qu'il en soit il serait dantage convenable que l'on examine plus attentivement la proximité ou l'affinité que l'on partage.

Si comme moi vous  considérez cette même proximité  tout à fait inexistante, ne trouvez vous pas alors votre présence un brin intrusive dans ma propre sphère personnelle ?

Jadis je pouvais trouver l'échange et le partage de  nos pensées - via électronique interposée - sympathique même,  à condition que les contacts restent dans une pertinente  et juste distance virtuelle occasionnée par la « fenêtre » donnant sur les « passants » de la blogosphère.

Je pouvais alors m'extirper un peu de ma modeste « bande » gazonnée bien clôturée par des hautes et épaisses haies virtuelles afin de prévenir toute intrusion inopportune et encore moins agréé et échanger, un peu avec vous.

Hélas ! Vous voilà désormais aujourd'hui songeant d'abdiquer avec hargne les limbes du virtuel pour fantasmer votre immixtion atroce et insupportable dans le réel de ma vraie vie!

Encore hélas !  J'aurais dû "tondre" en l'extirpant plus profondément et plus vaillament la mauvaise végétation que vous êtes.

Que des sinistres grotesques que vous faites! Rats !

Mais enfin, de grâce, formidables fâcheux que vous êtes : demeurez donc sur le seuil de ma porte !

 Que me vaut-il donc cette votre malsaine insistance à vouloir à tout prix quitter ce « portail » virtuel qui vous délimite si bien dans cet extérieur dans lequel il eut été bon et souhaitable que vous vous cantonniez à jamais pour vouloir ainsi vous enraciner, implanter ou fixer dans mon existence ?

Pourquoi donc cette inouïe obstination de vouloir accéder à ce point et par tous les moyens, dans ma propre matérialité personnelle ?

 Si maladresse il y eut ce fut de vous permettre de quitter ce « pas-de-porte » que jamais vraiment vous n'auriez du détaler. 

Un peu à l'instar de ce grossier, gêneur, agressif et importun, vendeur de porte-à-porte, que l'on laisserait, pour le plus grand malheur, pénétrer à l'intérieur du domicile.

Impossible ensuite de le déloger sans l'acquisition des son merdique et inutile fourbi d'objets insensés tout autant que périmés.

 Vous me direz que ce n'est pas ma « porte » que vous avez frappé avec tant d'insistance déplacée, mais à celle de ma compagne...

Hélas, il se trouve que nous partageons le même « espace » de vie.

 Sinistres sires aux nauséabondes et malveillantes aptitudes dignes des meilleurs et des plus vils chapardeurs, passez donc votre chemin inaptes que vous êtes à vous consolider par vous même un environnement concret et des relations durables hors de l'assistance que l'électronique vous apporte.

 Il n'y a guère de place dans ma vie pour les misérables, indigents et pathétiques gueux de votre acabit.

Vagabonds du virtuel, êtres à la vie misérable et creuse, nauséeux individus qui, par oisiveté ou par inaptitude à la vie, échouez dans tout ce que vous entreprenez et dont votre seul lot de consolation consiste d'entraîner autrui dans le fracas et la perte de vos propres échecs.

 Déguerpissez donc de ma vie. 

Pour ce faire poursuivez  tout droit au fond de ce couloir puis, pour précipiter à jamais dans le néant de l'oubli, tournez assurément à droite.

Je ne vous accompagne pas.

 

 

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L
Je me délecte à la lecture de ton texte, quelle maitrise des mots, quelle justesse dans l'expression, malgrès la colère qui t'envahit... Je suis admirative.
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G
Tiens, la même pathologie qu'Anténor (http://rien-nest-vrai.over-blog.com/). Tu devrais consulter le Dr Schneider.
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L
Les "fâcheux" ont l'air de t'avoir bien fâché ! ... <br /> Mais que tant t'ont fait ces Indésirables qui pour aller chez toi ont été obligés d'escalader ton mur ... <br /> LIZAGRECE
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